Le piano qui joue
Le piano qui joue,
Est un vrai mystère,
Et son jeu très doux,
Nuancé, solaire,
M’envahit soudain,
D’une vive émotion,
Tout comme un chagrin,
Fragile aiguillon ;
Réveille le passé,
Souvenirs oubliés,
De ces êtres aimés,
Dans l’éternité,
Présents avec nous,
Grâce à leur mémoire,
Comme cet Acajou,
Ils traversent l’histoire.
Le piano qui joue,
Nous entraîne en vain,
Dans un bel entrain,
Et sans être fou,
Nous rêvons enfin,
A l’amour donné,
Reçu, partagé,
Ce qui nous retient.
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